Meroko lui adressa un sourire une fois encore, même si elle devait l'avouer, un peu douloureux par l'étirement de son visage ce qui se répercuttait dans la plaie et repris la parole:
"Si vous le dites ma foie, je vous crois, bien je vais me hatter, peu être à un de ses jours mademoiselle..."
Elle se tourna vers la direction opposée et commençait à partir, a vrai dire, elle ne se sentait pas trop de rester avec elle, une fille qui se balade avec un scalpel, elle en voit pas tout les jours, et puis dans un pensionnat part dessus le marché.
Elle marchait, s'éloignant peu à peu de la personne, regardant le sol comme elle a si souvent l'habitude de faire...